Copies d'écrans d'echelon


Dans tout ce qui suit, vous pourrez (devrez ?) cliquer sur l'icône pour faire apparaitre un aggrandissement lisible. Les images sont toutes au format png (un format libre supérieur au gif) et leur taille ne dépasse pas les 20 kilo-octets. Les icônes sont au format jpeg.

Cette page est plus qu'une simple collection de copies d'écran. J'ai essayé d'en faire une page de présentation rapide d'echelon. Vous pouvez donc venir vous familiariser avec echelon ici.


Voici ce que vous verrez en lançant echelon une fois ce dernier correctement configurer.
La première partie de la fenêtre donne des renseignements basiques, comme le nom de l'utilisateur, la date, le nom du système, l'heure (réactualisée à la seconde) et l'état de la connexion de la machine, sous forme à la fois d'un message et d'un drapeau (ici rouge).
La seconde partie est composée pour le moment de trois onglets dont le premier, connexion est en évidence ici. La partie supérieure de l'onglet donne des indications techniques sur la connexion (début, fin, etc.) et le temps de connexion apparaît réactualisé à la seconde.
La partie inférieure est composée d'un champ d'état (où sont renvoyés les messages du système) et tout en bas de deux boutons afin de se connecter ou se déconnecter.

Voici le résultat d'une tentative de connexion : l'utilistateur a appuyé sur le bouton « connexion » en bas à gauche. Aussitôt, le message tentative de connexion est apparu à côté du drapeau rouge et ce dernier est passé au jaune.
Dans le même temps, le bouton « connexion » n'est plus actif tandis que celui de déconnexion l'est devenu. Le mot « déconnexion » est même devenu clignotant. On peut dès à présent arrêter la procédure de connexion en appyant sur ce bouton.
Enfin, on peut suivre le déroulement de l'action en cours dans la fenêtre. On peut y lire : Tentative de connexion puis à la ligne + numérotation du moden. Suivant votre chaîne d'initialisation, vous devriez entendre votre modem numéroter.

Voici maintenant l'étape suivante: le modem a accroché la ligne de votre fourniseur d'accès : il y a ce que l'on appelle une négociation de ligne. Votre modem, si vous ne lui avez pas coupé le sifflet doit vous sortir une série de bruit bizzares.
À partir de là, vous commencez à payer la communication, bien que vous ne soyez pas encore un noeud du réseau (en clair, vous ne pouvez encore rien faire mais vous payez déjà). Bienvenue dans la vie.com...  Pour marquer cet état de fait, le drapeau change de couleur (vert) et le compteur de connexion se met en marche (l'heure de connexion est aussi marquée). Vous pourrez ainsi connaître le temps de négociation de votre ligne (cela dit, si cela dépasse 10 seconde, « on » se fout de vous...).
Les différents messages expliquent aussi la situation en cours.


Enfin, la négociation de la ligne prend fin et votre fournisseur d'accès vous alloue une adresse IP. Vous pouvez maintenant faire ce que vous voulez sur le réseau.
Le signal vous est donné par la phrase écrite en vert : Vous êtes maintenant connecté...  etc.. Vous pouvez par exemple aller chercher votre courrier. Pour cela, cliquer sur l'onglet « Courriel » ou bien utilisez le raccourci alt-o.





Cette partie consacrée au courrier électronique se subdivise en deux grands espace : en haut, pour le courrier entrant (« Réception ») et en bas pour le sortant (« Émission »).
Enfin, on trouve un large bouton tout en bas intitulé « Rapatrier le courriel » sur lequel il suffit de cliquer pour aller vider sa boîte aux lettres.


Après avoir appuyé sur la touche « Rapatrier le courrier », le système demeure active pendant le rapatriement et vous pouvez visualisez ce qui se passe dans votre système.
Dans un premier temps, pour montrer que l'action débute (en fait, que vous avez bien lancé fetchmail), il apparait la phrase suivante : Tentative de rapatriement du courrier en violet. Puis une fois que la négociation avec votre compte POP3 de votre fournisseur est effective, il apparait le message suivant : votre.login: identification réussi à heure.date où bien sûr votre.login et heure.date sont respectivement votre login chez votre fournisseur et l'heure et la date de l'identification.
Ensuite, après interrogation de votre compte, il vous affiche le nombre de courriels sur votre compte et la taille en octet que cela représente. Puis le téléchargement commence et vous verrez apparaître progressivement le nombre de courriels reçus. La vitesse de rapatriement dépend bien sûr de votre ligne et de votre fournisseur d'accès


La totalité du courrier est rapatrier : cela est signaler par la phrase téléchargement terminé en vert ainsi que par la fin du décompte des courriels arrivants.
Enfin, une phrase en violet, vous pouvez maintenant vous déconnecter vous rappelle que si vous n'avez rien d'autre à faire, vous pouvez aller vous déconnecter maintenant sans risque de perdre un courrier en cours de téléchargement.


Si vous avez envoyé un courriel avant de vous connecter, vous verrez le message de la partie « Émission » avant ceux de la partie au-dessus. La limitation est ici celle de la ligne qui vous connecte à Internet, pas celle du logiciel.
Donc cette partie renseigne des courriels en attente sur votre machine. Si votre machine est bien configuré, vous pouvez taper et envoyer votre courrier quand vous le voulez, y compris sans être connecté. Si le MTA de votre machine est bien configuré, il enverra les courriels en attente directement lors de la connexion.
Ici, deux courriels étaient en attente. Lorsque le message est affiché, le courriel a déjà été délivré donc aucun risque pour le message marqué d'être coupé à l'émission lors d'une déconnexion.
Par contre, une limitation d'echelon est de ne pas indiquer le nombre de courriels en attente dans la queue d'émission. Donc, il faut se rappeler combien il y en a. Cela se fera dans une version ultérieure.


À tout moment pendant chacune des étapes qui précèdent, vous pouvez allez voir ce qui se passe dans les entrailles de votre système dans l'onglet « Journaux de bord ».
Le fichier /var/log/messages, /var/log/mail.log ainsi que celui utilisé par votre MTA y est décrit. J'ai de plus colorisé les journaux de bord pour une compréhension immédiate (et permettre surtout des repères à des personnes qui n'y connaissent rien, pour le débogage à distance par exemple).
Bien sûr, cette fonctionnalité n'apporte pas grand chose à l'utilisateur de base, hormis peut-être pour le curieux. Par contre, en cas d'administration par téléphone, vous pourrez interroger la personne en difficulté avec plus de pertinence. Sans compter que pour les utilisateurs un peu curieux, cela permet d'obtenir quelques renseignements intéressants.
Par contre, je ne connais pas les effets de bord d'un point de vue de la sécurité. Je ne pense pas que cela soit grave mais réfléchissez-y à deux fois sur une machine sensible.


À tout moment, vous pouvez couper votre connexion. Il n'y a pas encore de sécurité comme quoi il y a encore des courriels dans la queue d'émission ou bien que le rapatriement du courrier n'est pas terminé.
Pour ce faire, cliquer sur l'onglet « Connexion » et cliquer ensuite sur le bouton « Déconnexion ». Et...  c'est tout !
Le drapeux du système repasse alors au rouge, indiquant que le système n'est plus connecté. Une phrase en orange vous l'indique aussi. L'heure de déconnexion est signalée ainsi que la durée totale de la communication. Tout cela est aussitôt archivé sur votre compte. Le bouton « Connexion » redevient actif tandis que celui de « Déconnexion » devient inactif.


Lorsque vous cliquer sur le menu préférences, vous avez accès à un menu graphique pour configurer à la souris echelon. C'est très simple.
Ici, on configure le nombre de boîte que fetchmail va aller rechercher de façon à ce que echelon sache quand indiquer que le téléchargement est fini. On obtient alors la phrase citée un peu plus haut, ainsi qu'un signal sonore.


Ici, on configure le script à lancer via pon.
echelon propose de lui-même l'ensemble des scripts disponibles et élimine même les résidus de sauvegarde des éditeurs de texte.


Ici, on détermine le fichier de configuration de fetchmail.




Ici, on détermine le MTA utilisé.


Patrice KARATCHENTZEFF
Last modified: Wed Mar 28 23:42:13 CEST 2001